La voix de l’albatros

Des idées compulsives émanant d’une vie misérable et dure se manifestent par un jaillissement des sentiments, de la recherche des bonheurs et du bien-être. Le sacrifice, a tout moyen, par le père comme symbole religieux et la mère comme figuration intelligente de vie et de persistance. Le père, était soldat reconnu par sa bravoure et ses sacrifices pour sa famille et la nation entre autres. La mère était pétrie d’une forte personnalité et de sa patience de faire face aux aléas de la vie. La question principale sonne hors du temps et hors de la nationalité-que peut sacrifier une personne pour le bien de ceux qui lui sont chers? Comme dans un monde qui demande tant de sacrifices, libre et sans limites? Les sacrifices humains, sont-ils justifiés s’ils sont faits gratuitement par amour et responsabilité et sans attente de récompense?

Auteur

Faisal Sennoun est né le 09 octobre 1987 à la base militaire de sidi yaya à l’ouest du Maroc, il’a aujourd’hui 35 ans.

Son éducation est marquée par la culture française et des questions sur l’anthologie depuis l’âge d’adolescence, ce qui lui pousse de s’inscrire à la faculté des lettres de Meknès au Maroc, avant d’être inscrit pour la deuxième fois à la faculté de droit à la ville de Tanger, dont il travail et l’obtention d’un master à la gouvernance territoriale.

Il est tout d’abord commerçant irrégulier à la ville de Meknès, en parallèle avec une auto formation approfondie.

En conquête de la réalité, il décide d’être embouché dans la police marocaine et travailler dans plusieurs postes, depuis l’âge de 24 ans.

La voix de l’albatros est son premier travail littéraire, depuis plus de 10 ans de réflexion, sur l’essence de l’existence de l’être humain.