Exposition : Jean-Pierre Koffel dans son temps
Exposition Jean-Pierre Koffel dans son temps du samedi 19 juin au samedi 17 juillet 2021 dans la galerie de l’Institut Français de Kénitra
L’Institut français de Kénitra, en partenariat avec Les Amitiés Poétiques et Littéraire du Maroc vous invite à découvrir une exposition qui retrace le parcours d’homme de lettres et d’artiste de Jean-Pierre Koffel.
Photos inédites de Jean-Pierre Koffel, exposition « Anthologie des poètes francographes du Marco » (Photos de Jean-Claude Lafitte), etc…
Deux autres événements sont organisés pour lui rendre hommage :
Lien vers l’hommage sous forme de pièce de théâtre
Lien vers l’hommage sous forme de récital
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Biographie de Jean-Pierre KOFFEL (1932-2010) :
Jean-Pierre Koffel, né à Casablanca le 21 novembre 1932 et décédé à Kénitra le 2 novembre 2010, est un poète et romancier français.
Agrégé de lettres classiques, Jean-Pierre Koffel dirigeait plusieurs associations littéraires et poétiques au Maroc et collaborait à plusieurs journaux et hebdomadaires. Il fut directeur de la collection Côté Maroc aux éditions Marsam.
Outre ses activités poétiques et littéraires, Jean Pierre Koffel a mené une longue carrière au sein du ministère de l’éducation nationale du Maroc. Il a choisi de rester au Maroc où il a exercé le métier d’enseignant grâce à une autorisation de Mohamed V. Et depuis sa retraite, il se consacre exclusivement à l’écriture.
Il a à son actif de nombreux ouvrages : Nous l’appellerons Mehdi (roman, 1994, Prix Grand Atlas), Des pruneaux dans le tagine (1995), Pas de visa pour le paradis d’Allah (1997), L’inspecteur Kamal fait chou blanc (1998), La cavale assassinée (1998), Rapt à Inezlane (2001), C’est ça que Dieu nous a donné (2003), Ptolémée de Maurétanie, Le dernier Pharaon avec Josiane Lahlou (2005), Dalal, mon amour, (2006), Anthologie de la poésie de langue française au Maroc (2005), Argaz Izgan ou L’homme immobile (2008). En 2008, Jean-Pierre Koffel publie aux éditions Biliki le livre Marrakech Baisenesse sous le double pseudonyme Zakaria Imansar et Alexis Gardiner. En demandant à l’éditeur de ne pas en parler jusqu’à sa mort.